La mode se démode, le style jamais
(Coco Chanel)

dimanche 15 mai 2011

(Dés)amour de chaussures

Il y a peu, je possédais une vingtaine de paires de chaussures. Mais, le déménagement passant par là, j'ai du en abandonner plusieurs. Il doit maintenant m'en rester une dizaine, voire une quinzaine. Mais, depuis quelque temps, m'arrive une chose encore jamais vécue : mes chaussures ne me plaisent plus !

Cet hiver, j'ai fait l'acquisition d'une très belle paire de bottes, qui ne m'a pas quittée. La demi-saison a vu réapparaitre les Converses, que j'aime toujours autant et qui, malheureusement, ne vont plus pouvoir me suivre longtemps.
Mais avec l'été, j'ai eu la désagréable surprise de ne plus trouver mes chaussures à mon goût. D'où cela a-t-il bien pu me venir ? Mes escarpins me semblent trop communs, mes Converses pas assez féminines, mes compensées trop "déjà-vu" (forcément, quand on les a depuis plusieurs années...)

J'avais envie d'autres choses. Envie de changer de chaussures.

Alors, je me suis lancée à la recherche d'un coup de coeur. Le premier, des Tropéziennes, sur le site Monshowroom.com. Petites, simples, plates, elles seront parfaites pour aller travailler dans de bonnes conditions et parcourir les routes de Grèce, en septembre (j'ai hâte !).
Mais en fan inconditionnelle des talons hauts, je dois avouer que je n'étais pas entièrement satisfaite de cet achat... Trop plat ! Et je dois reconnaître que je rêve de bois, de cuir... comme les compensées See by Chloé, dont j'ai parlé il y a quelques semaines. Le hic ? Le prix ! Alors, je fantasmais dessus, tout en sachant que même avec des soldes à -50%, elles resteraient bien trop chères pour être raisonnables.

Et c'est par un après-midi de désoeuvrement (ou presque) à Paris, que je les ai trouvées. Du bois, du cuir, des talons hauts. Dans l'esprit des See by Chloé, mais moins chères (beaucoup moins chères) et sans semelle compensée.
Vous le connaissez, ce petit diable sur votre épaule, qui vous tente méchamment ? J'ai pris sur moi, je ne me suis pas ruée dessus... tout de suite ! J'ai attendu une loooongue semaine, avant d'entrer chez Bershka, à la Part-Dieu, à Lyon. Je les voulais, je les ai eues.

Mais elles soulèvent moins l'enthousiasme que les Tropéziennes... L'Homme ne les a pas encore vues et, pourtant, elles font déjà débat dans notre couple. Son avis ? Vulgaires, hautes et trop massives. Je ne vais pas débattre sur notre éternel désaccord en ce qui concerne les chaussures et, je dois le reconnaître, je savais en les achetant qu'il ne les aimerait pas.

Mais ce n'est pas grave, je peux passer nos balades en amoureux à plat. Et en attendant, je me perche sur ces 12 centimètres pour aller travailler... avec quand même une paire de Converse dans la voiture "au cas où".
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2 commentaires:

  1. Ça y est, il est sorti ?

    Parce que ton billet est annoncé chez moi depuis hier (ou comment mon blog voit l'avenir en fait !).

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  2. Hé hé hé ! Ton blog ne voit pas l'avenir, il s'agit juste d'une fausse manip' qui m'a fait le publier brièvement hier, avant de le reprogrammer pour aujourd'hui ;)

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